RC MILORD - ORDMIL CR
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Jesus Christ gave His apostles "authority to cast out demons" (Cf. St. Mark 3). By His authority the Church exercises the power and office of exorcizing, and the Church's exercise of this power and this office is called exorcism. (CCC:1673)
There are two forms of exorcism:
The simple form, for example, is part of Baptism and of the Christian Initiation of Adults.
The major (or solemn) form is performed only by a validly ordained priest with the bishop's express permission.
Comme tous les sacramentaux, un exorcisme vise à la sanctification de l'humanité (et de toute la création) et à la louange de Dieu en nous disposant favorablement et intentionnellement à coopérer avec Dieu par sa grâce. (CEC : 1670)
C'est par la volonté d'amour de Dieu et à la gloire de son saint nom que l'Église chasse les démons, chasse les mauvais esprits et guérit ceux qui souffrent de possession démoniaque. (CEC : 1673)
Il existe deux formes d'exorcisme :
La forme simple, par exemple, fait partie du Baptême et de l'Initiation chrétienne des adultes.
La forme majeure (ou solennelle) n'est pratiquée que par un prêtre validement ordonné, avec l'autorisation expresse de l'évêque.
Selon le Catéchisme, on parle d’exorcisme « quand l’Eglise demande publiquement et avec autorité, au nom de Jésus-Christ, qu’une personne ou un objet soit protégé contre l’emprise du Malin ». Les mots sont simples, ses modalités clairement définies. Alors pourquoi tant de fantasmes ? Le Père Maxime d’Arbaumont, prêtre exorciste pour la zone apostolique de Paris, et Catherine Métral, mère de famille et bénévole écoutante, ont accepté de répondre à nos questions. Une émission à ne pas manquer.
L’Église est attentive aux souffrances des personnes et au mal-être qu’elles peuvent ressentir. Elle ne détient aucun pouvoir magique, mais elle croit à l’amour du Christ pour tout être humain ; elle sait qu’il est venu le remettre debout et le rendre libre. En son Nom, elle se doit d’accueillir, d’écouter, de prier, de faire entendre la Parole de Dieu. C’est pourquoi différents itinéraires sont proposés pour implorer le Seigneur de délivrer de son mal la personne éprouvée.
– Mgr Guy de Kérimel, évêque de Grenoble-Vienne, Responsable du Bureau des exorcistes.
Ouvrage collectif sous la direction de Monique Brulin, éd. Desclée-Mame, 2006, format 170 x 240 mm, 143 p.
Par cet ouvrage, les évêques de la Commission épiscopale de la France pour la liturgie et la pastorale sacramentelle ont souhaité faire connaître l’esprit et l’intérêt pastoral du Rituel de l’exorcisme dont l’usage est réservé aux évêques diocésains et aux prêtres exorcistes qu’ils ont expressément nommés. Ce ministère de discernement, d’intelligence et de miséricorde se trouve en particulier resitué dans l’ensemble du ministère de salut et de guérison dont l’Eglise a la charge.
Tout être humain est éprouvé par le mal à un moment ou un autre de sa vie, et pour certains, cela peut commencer très tôt. La maladie, les blessures relationnelles, les épreuves de la vie, le péché, les échecs, parfois les pratiques occultes, sont autant de maux qui entravent la vie des gens. De plus, quand ces mots s’additionnent, ils restreignent la liberté des personnes au point qu’elles se sentent enfermées dans une sorte de fatalité mauvaise.
Leur aurait-on jeté un sort ? Seraient-elles possédées ?