RC MILORD - ORDMIL CR
CANADA
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Pope Francis
'calls for a world of mutual respect, stressing that we can either choose to be brothers and sisters or we lose everything.'
La Fraternité Humaine dans la Fratelli tutti
Si l’affirmation selon laquelle tous en tant qu’êtres humains nous sommes frères et soeurs n’est pas seulement une abstraction mais devient réalité et se concrétise, cela nous met face à une série de défis qui nous bouleversent, nous obligent à envisager de nouvelles perspectives et à développer de nouvelles réactions (FT 128).
Sans une ouverture au Père de tous, il n’y aura pas de raisons solides et stables à l’appel à la fraternité (FT 272). Le projet même de fraternité est inscrit dans la vocation de la famille humaine (FT 26).
La fraternité n’est pas que le résultat des conditions de respect des libertés individuelles, ni même d’une certaine équité observée. La fraternité a quelque chose de positif à offrir à la liberté et à l’égalité (FT 103).
Un chemin de fraternité, local et universel, ne peut être parcouru que par des esprits libres et prêts pour de vraies rencontres. (FT 50).
Il est quelque chose de fondamental et d’essentiel à reconnaître pour progresser vers l’amitié sociale et la fraternité universelle : réaliser combien vaut un être humain, combien vaut une personne, toujours et en toute circonstance (FT 106).
L’amour de l’autre pour lui-même nous amène à rechercher le meilleur pour sa vie. Ce n’est qu’en cultivant ce genre de relations que nous rendrons possibles une amitié sociale inclusive et une fraternité ouverte à tous (FT 94).
Tout être humain a le droit de vivre dans la dignité et de se développer pleinement. Lorsque ce principe élémentaire n’est pas préservé, il n’y a d’avenir ni pour la fraternité ni pour la survie de l’humanité (FT 107).
La justice est une condition indispensable pour atteindre l’idéal de la fraternité universelle (FT 173).
Tant que notre système économique et social produira encore une seule victime et tant qu’il y aura une seule personne mise à l’écart, la fête de la fraternité universelle ne pourra pas avoir lieu (FT 110).
Il y a un droit fondamental qui ne doit pas être oublié sur le chemin de la fraternité et de la paix. C’est la liberté religieuse pour les croyants de toutes les religions (FT 279).
Il est nécessaire de promouvoir non seulement une mystique de la fraternité mais aussi une organisation mondiale plus efficace pour aider à résoudre les problèmes pressants des personnes abandonnées qui souffrent et meurent dans les pays pauvres. (FT 165).
[Le monde] Peut-il y avoir un chemin approprié vers la fraternité universelle et la paix sociale sans une bonne politique ? (FT 176)
L’Église a un rôle public qui ne se borne pas à ses activités d’assistance ou d’éducation, mais qui favorise la promotion de l’homme et de la fraternité universelle (FT 276).
Pour nous [Chrétiens] cette source de dignité humaine et de fraternité se trouve dans l’Évangile de Jésus-Christ. C’est de là que surgit pour la pensée chrétienne et pour l’action de l’Église le primat donné à la relation, à la rencontre avec le mystère sacré de l’autre, à la communion universelle avec l’humanité tout entière comme vocation de tous (FT 277).
Pour de nombreux chrétiens, ce chemin de fraternité a aussi une Mère, appelée Marie (FT 278).
Lors de cette rencontre fraternelle, dont je garde un heureux souvenir, le Grand Imam Ahmad Al-Tayyeb et moi-même avons déclaré « fermement que les religions n’incitent jamais à la guerre et ne sollicitent pas des sentiments de haine, d’hostilité, d’extrémisme, ni n’invitent à la violence ou à l’effusion de sang. Ces malheurs sont le fruit de la déviation des enseignements religieux, de l’usage politique des religions et aussi des interprétations de groupes d’hommes de religion qui ont abusé – à certaines phases de l’histoire – de l’influence du sentiment religieux sur les coeurs des hommes. […] En effet, Dieu, le Tout-Puissant, n’a besoin d’être défendu par personne et ne veut pas que Son nom soit utilisé pour terroriser les gens ». C’est pourquoi je veux reprendre ici l’appel à la paix, à la justice et à la fraternité que nous avons fait ensemble : Le Document sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune (FT 285).
Human Fraternity in Fratelli tutti
If the conviction that all human beings are brothers and sisters is not to remain an abstract idea but to find concrete embodiment, then numerous related issues emerge, forcing us to see things in a new light and to develop new responses (FT 128).
Without an openness to the Father of all, there will be no solid and stable reasons for an appeal to fraternity (FT 272). The human family [has the] innate vocation to fraternity (FT 26).
Fraternity is born not only of a climate of respect for individual liberties, or even of a certain administratively guaranteed equality. Fraternity necessarily calls for something greater, which in turn enhances freedom and equality (FT 103).
The process of building fraternity, be it local or universal, can only be undertaken by spirits that are free and open to authentic encounters (FT 50).
Social friendship and universal fraternity necessarily call for an acknowledgement of the worth of every human person, always and everywhere (FT 106).
Our love for others, for who they are, moves us to seek the best for their lives. Only by cultivating this way of relating to one another will we make possible a social friendship that excludes no one and a fraternity that is open to all (FT 94).
Every human being has the right to live with dignity and to develop integrally. Unless this basic principle is upheld, there will be no future either for fraternity or for the survival of humanity (FT 107).
Justice is an essential condition for achieving the ideal of universal fraternity (FT 173).
Only when our economic and social system no longer produces even a single victim, a single person cast aside, will we be able to celebrate the feast of universal fraternity (FT 110).
One fundamental human right must not be forgotten in the journey towards fraternity and peace. It is religious freedom for believers of all religions (FT 279).
[There is] the need for a greater spirit of fraternity, but also a more efficient worldwide organization to help resolve the problems plaguing the abandoned who are suffering and dying in poor countries (FT 165).
Can there be an effective process of growth towards universal fraternity and social peace without a sound political life? (FT 176)
The Church has a public role over and above her charitable and educational activities .She works for the advancement of humanity and of universal fraternity (FT 276).
For us [Christians] the wellspring of human dignity and fraternity is in the Gospel of Jesus Christ. From it, there arises, for Christian thought and for the action of the Church, the primacy given to relationship, to the encounter with the sacred mystery of the other, to universal communion with the entire human family, as a vocation of all (FT 277).
For many Christians, this journey of fraternity also has a Mother, whose name is Mary (FT 278).
In my fraternal meeting, which I gladly recall, with the Grand Imam Ahmad Al-Tayyeb, “we resolutely [declared] that religions must never incite war, hateful attitudes, hostility and extremism, nor must they incite violence or the shedding of blood. These tragic realities are the consequence of a deviation from religious teachings. They result from a political manipulation of religions and from interpretations made by religious groups who, in the course of history, have taken advantage of the power of religious sentiment in the hearts of men and women… God, the Almighty, has no need to be defended by anyone and does not want his name to be used to terrorize people”. For this reason I would like to reiterate here the appeal for peace, justice and fraternity that we made together: the Document on Human Fraternity for World Peace and Living Together (FT 285).